Toujours les mots qui manquent
pour ces ailes roses et grises
crépusculaires
qui déjà s'éteignent,
se cache dans l'ombre
des arbres !
Il ne reste plus
que des déchirures,
des plis sur un ventre
encore blanc
avant la plongée
dans la nuit.
Qu'y a-t-il à saisir ?
Derrière cette fenêtre,
rien, sauf qu'on
n'en revient pas soi-même
d'être assis et de voir.
Je viens de lire ton poème du 25, toujours aussi efficace dans cette espèce de détachement. Pour ce qui est de la musique, j'ai enfin réussi à l'écouter , je ne suis pas un spécialiste ! As-tu envoyé ton lien de blogue à tes amis, afin qu'ils te lisent de temps en temps ? Amitiés, Étienne.
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