lundi 11 juillet 2011

Une voix pour accompagner Kabir

Quand enfin tu as trouvé l’océan du bonheur, ne t’en va pas assoiffé.
Réveille-toi, fou que tu es ! la mort te guette. Ici est l’eau pure devant toi. Bois-la à perdre haleine.
Ne poursuis pas le mirage, mais aies soif de nectar.
Dhruva, Prahlad et Shukadeva en ont bu ; Raida en a goûté.
Kabir dit : « Écoute, mon frère ! le repaire de la crainte est brisé ;
Pas un instant tu n’as regardé le monde face à face.
Avec la fausseté tu tisses ton esclavage ; tes paroles sont pleines de tromperie.
Avec le fardeau de désirs dont ta tête est chargée, comment pourrais-tu être léger ? »


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire