On parlera encore
mais ce seront des paroles
qui tintent avec les verres
et la féérie du soir.
Tout est là, autour de la table
avec les cris de joie
au fond du jardin.
Pourquoi a-t-il eu si peur ?
Qu'il se donne donc
jusqu'en son sommeil de sable.
Le vent du rêve vient
lui desserrer les mains,
et l'acier qui l'entoure
est une vague verte
qui porte son élan.
Il commence maintenant,
avec la douceur des voix
qui s'éteignent,
le bruissement de la nuit
qui l'a amené à son chant
le plus intérieur !
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