L'impasse n'a pas
de murs.
On y entend
des chants d'oiseaux
qui confondent
l'aube et l'aurore.
Les sources jaillissent
et disparaissent,
mais sont
sans chemin.
On est seul
à comprendre
qu'on ne comprendra pas,
et que le vent
une fois de plus
effacera les mots
comme des traces de pas !
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